« J'utilise l'image d'une piste à obstacles et chaque fois qu'il y a un mot qui bute, c'est comme s'il fallait que je contourne un obstacle. » C'est comme ça que le journaliste de Radio-Canada Pierre Chapdelaine de Montvalon définit son bégaiement. De son côté, Geneviève Lamoureux, candidate au doctorat en sciences de l'orthophonie et de l'audiologie, a commencé rapidement à changer ses mots pour cacher son bégaiement. Toutefois, elle s'est finalement rendu compte qu'elle se sentait « beaucoup plus libre en le montrant ». Elle a alors arrêté de le cacher et a même un balado sur le sujet.